Voici une excellente production récente du fils Kristjan Järvi :
Järvi a imaginé une continuité certes fictive mais cohérente entre la première partie de Fratres (1992) pour violon, cordes et percussion, Darf ich… pour violon, cloches et cordes de 1999, et la Passacaglia pour violon, vibraphones et cordes de 2007 conçue pour le soixantième anniversaire de Gidon Kremer – la continuité étant bien sûr la présence dans les trois œuvres d’un violon solo, comme s’il pouvait s’agir d’un concerto imaginaire écrit en l’espace de quinze ans. Il faut dire qu’il s’y trouve une excellente cohérence de tonalités, hasard ou dessein incontrôlé du compositeur ? Au violon, Anne Akiko Meyers, qui partage avec Kristjan Järvi un goût évident pour les explorations musicales tous azimuts, jusques et y compris dans les domaines du jazz, de la pop et des divers crossovers qui peuvent en résulter. © SM/Qobuz
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